Suspense - Le feuilleton du vrai-faux retour de l'ex-chef d'Epic continue...

Il ne veut pas mais il fera son devoir, contre son gré. Cliff Bleszinsky affirme, dans des propos cités par consoleplus.net, qu'il ne veut pas revenir à Gears of War mais qu'il pourrait être « obligé d'y aller » pour «les joueurs», à cause de la gravité de la situation.

«Il y aura malheureusement un moment où la question ne sera plus: "avez-vous envie?" mais "aurez-vous le choix?' (...) Dans ce cas, je ne pourrai pas continuer à me dire: je suis heureux, je donne mon avis sur internet, et je cherche du travail partout dans le monde. Dans ce cas, effectivement, je serai obligé d'y aller. Pas par envie. Par devoir. Uniquement parce qu'il s'agit de Gears», déclare l'ancien programmeur, qui avait quitté le studio Epic games.

Le monde des studios d'«un ennui mortel»

Dans le même temps, Cliff Bleszinsky n'a «pas envie d'avoir à faire au monde des studios qui (lui) procure un ennui mortel», selon d'autres propos rapportés dans l'article.

«Et puis, regardez comment j'ai été traité ! Lorsqu'on m'a mis 8 sur 10 dans Eurogamer pour Gears 3 (...) Sans compter que j'attends toujours le coup de téléphone de Capcom pour réparer Resident Evil, assure-t-il.

Interrogé pour savoir s'il veut prendre sa revanche, il répond que «c'est un très mauvais sentiment». «Et puis quelle revanche ce serait ? Pour reprendre Gears of War dans l'état où Microsoft l'a laissé. Tu crois que je ne sais pas que je vais mourir? Donc franchement est-ce que j'ai envie de revenir ? Non», affirme-t-il également.

(source : consoleplus.net)