Ah les Pink Floyds, ce groupe anglais mythique qui traversé la deuxième moitié du 20ème siècle juché sur un vaisseau de Rock, bravant les vagues déchaînées d'une mer psychédélique. Foyer fécond, mère de nombreuses oeuvres musicales inimitables, cette formation mythique est notamment responsable d'une des meilleures chansons expérimentales et hallucinées qu'il m'ait été donné d'entendre, Comfortably Numb.

Souvent repris, et probablement jamais égalé, ce monument du son est un grand classique des groupes de rock de quartier, assemblages parfois douteux de pères quinquagénaires en manque de jeunesse ou bien à l'opposé d'adolescents perdus exerçant leurs voix incertaines sur les classiques de la musique des années 60 et 70.

Même si lap lupart de ces groupes sont talentueux, il arrive de trouver dans le lots d'horribles bandes de sagouins, qui confondent hommage et insulte, reprise et massacre. Je vous en propose un exemple frappant avec cette reprise honteuse de la chanson susnommée.

Vidéoludiquement,

Arthur